lundi 29 novembre 2010

samedi 27 novembre 2010

mercredi 24 novembre 2010

Turangalîla-Symphonie (5)




5ème mouvement : Joie du Sang des Etoiles









lundi 22 novembre 2010

jeudi 18 novembre 2010

The Cheating Buddha




Lee 05


La Mort, un aspect de la Vie, par Lee Lozowick

De toute sa vie l'homme ne fait que travailler, se démener et vivre afin de ne pas mourir, sur le plan phy­sique, émotionnel et psychique. C'est cela qui motive l'activité humaine. Je trouve très intéressant que la vie repose sur le besoin d'empêcher la mort, lorsqu'en fait, la mort est une partie de la vie. La mort n'est pas quelque chose en soi. C'est simplement une partie du processus de la vie. Vient le triste hiver, avec beaucoup de gel et de verglas, suivi du printemps et tout reverdit. La terre est-elle morte ? Regardez la nature et vous ver­rez que cela n'est qu'une question de cycles.

Lee 03

Dites-moi, pourquoi en irait-il différemment pour vous ? Pourquoi les gens seraient-ils autre chose que ce qu'est la nature ? Il n'y a aucune raison pour cela. Le simple fait que vous soyez dotés d'une intelligence qui a conscience d'elle même, ne veut pas dire que vous devriez être différents.
La mort est très simple et très naturelle. C'est une loi universelle. Il s'agit de cycles, comme dans le cas du papier recyclé. La lune a des cycles, la terre a des cycles, les étoiles ont des cycles. Les étoiles passent successive­ment du bleu, au rouge, au jaune et au blanc, et finale­ment elles s'éteignent. Après cela il y a une autre étoile. Tout suit un processus cyclique, et, à l'instar de tout le reste, vous en suivez un aussi.

Lee 02

Il est tout à fait exceptionnel sur terre (et je dis sur terre parce que ceci se produit à d'autres endroits de l'univers), que notre vie, celle des êtres humains que nous sommes, repose sur le besoin d'empêcher la mort. Aucune autre créature sur la planète n'exhibe cette par­ticularité bizarre, ce refus de la mort. En réalité, la « mort » à laquelle on s'oppose et que l'on nie, n'existe pas. Le recyclage existe. Lorsque l'on oppose la vie et la mort, voyant en chacune un événement en soi, on igno­re le processus cyclique. Il vous est impossible d'appré­cier la beauté de la vie de cette manière là, vous ne pou­vez alors voir en elle qu'une bataille macabre. A suppo­ser que l'écologie soit vraiment votre dada, et que vous receviez une lettre d'une société qui utilise du papier recyclé, vous l'appréciez. C'est pour cela qu'il se peut qu'un yogi vous dise, « Ah, tu es une vieille âme. » Vous avez été recyclé de nombreuses fois et il l'apprécie.

Lee 04

Il est intéressant d'observer ce que vous faites pour maintenir la vie. Votre seule motivation est d'em­pêcher la mort, vous ne pouvez pas prendre une assu­rance sur la survie. Il n'y a rien que vous puissiez faire en ce qui concerne la survie, car que cela vous plaise ou non vous allez survivre.
Tout est inversé. Vous êtes absolument mal infor­més sur le processus de la vie. Vous ignorez ce qu'est la vie, sur le plan physique, émotionnel, psychologique, et spirituel. Cela revient toujours à : comment allez-vous échapper à la mort? Et la réponse qui vous vient est : gagner. Être l'équipe gagnante. L'équipe qui gagne, reste en vie. L'équipe qui perd, meurt. Toute compétition est une expression de cela. C'est pour empêcher, de toutes vos forces, le cycle inévitable de la vie connu comme étant la mort.
L'un des grands paradoxes de notre vie commune tient au fait que je n'arrête pas de vous dire, « Lâchez prise, lâchez prise. » Pour être ouverts vous devez lâcher prise, afin que la Grâce puisse être votre moteur. J'ai besoin d'une porte ouverte pour mettre le pied à l'inté­rieur. Je ne peux pas mettre le pied à l'intérieur, si vous fermez la porte trop vite. Cependant plus vous lâchez prise, plus cela devient difficile, au lieu de facile comme on pourrait s'y attendre. En fait plus la personne lâche prise, plus le phénomène de résistance apparaît dans sa vie de façon évidente, et plus elle rencontre d'obstacles. C'est très courant. Il est des gens qui m'ont fait allusion à cela et m'ont dit, « Je croyais vraiment y être arrivé. Je restais assis avec vous pendant un moment, et j'étais véritablement ouvert et en plein dedans. Puis tout mon univers explosa et se désintégra. » Donc plus vous lâchez prise, plus vous avez de résistances. En toute logique on pourrait croire que lâcher prise devrait vous donner un espace dégagé, où vous me seriez ouverts, et votre vie en serait améliorée ou deviendrait plus heu­reuse, ou que vous vous mettriez à être plus paisibles, plus compréhensifs, etc.,

Lee 01

Y eut-il jamais un esclave pour avoir un tel Maître
Y eut-il jamais quelqu'un de si bas pour être béni par Quelqu'Un de si haut
Y eut-il jamais quelqu'un de si perdu que vous auriez choisi de le trouver
Y eut-il jamais quelqu'un pour se cacher si bien que vous l'auriez cherché tellement longtemps
Je pense que non, mon Bien-aimé, il faut que je sois le seul pour qui vous pourriez tant souffrir, que vous pourriez tant aimer
Je pense que je dois vraiment être le seul.
(The Cheating Buddha, Hohm Press 1980)




Pourquoi, alors, la résistance augmente-t-elle avec le lâcher prise ? Bon, que vous promet le gourou ? La mort. Le gourou peut balancer ce mot un peu par­tout, puisqu'il sait que la mort est simplement une par­tie de la vie. Si vous voyez votre fin dans la mort, vous lui résisterez comme un beau diable. Vous lâchez prise parce que le gourou promet Dieu. Pendant ce temps votre subconscient dit, « Plus je lâche prise, plus je me rapproche de la mort. » C'est alors que surgissent plus de résistances, puisque vous interprétez la mort comme étant la mort de vous-même, au lieu d'y voir un aspect de la vie. Donc la résistance, l'anxiété, la tension et la peur qui se font jour dans notre relation, résultent de l'effort que vous faites pour nier ce que vous pensez être la mort : la fin complète de vous-même. Ce qui est plutôt intéressant c'est que, c'est qui vous pensez être qui meurt.


Blues for Lee


Lorsque vous pouvez réellement voir ce que vous êtes en train de faire, cela ne revêt pas un aspect moral ou immoral, juste ou faux. Cela vous montre simple­ment ce qu'est le schéma de votre vie, ce qui a besoin d'être dissout. Ce schéma est celui d'un labyrinthe au travers duquel vous courez indéfiniment pour vous éloi­gner de la mort. La vie spirituelle ne consiste pas à chan­ger le labyrinthe, à créer un labyrinthe plus confortable, mais à réaliser que pour commencer il n'y a pas de laby­rinthe, que sa nature est illusoire. Lorsque vous voyez vraiment cela, vous cessez de vous agripper et cram­ponner; vous ne vous accrochez plus à rien comme vous le faisiez alors que vous cherchiez à esquiver la « fin ». Il est certain que pour vous tous, il est des personnes avec qui vous préférez passer du temps : votre com­pagne, votre maîtresse, vos amis, vos enfants. C'est bien. Il y aura toujours des gens avec qui vous préféreriez être. Mais qu'arrivera-t-il si demain un camion leur passe des­sus ? N'importe quoi peut se produire. On ne peut pas s'opposer aux cycles de la vie. Cette relation-ci ne peut pas être permanente. Je souhaite que vous soyez là pour un bon bout de temps, cela serait sympa. J'apprécie cha­cun de vous et c'est avec plaisir que j'espère passer plus de temps avec vous, mais rien n'est permanent. Lorsque vous vous accrochez, que vous vous obstinez, la vie continue à être le refus et le déni de la mort, au lieu d'être seulement la vie.


Electro-Requiem


Disciple : Il existe un grand nombre de philosophies consolatrices qui avancent l'idée d'une forme de vie après la vie. Par ailleurs, beaucoup de personnes pensent que la mort est l'anéantissement total. Qu'avez-vous à dire sur ces façons de voir ?
M. Lee : La mort est anéantissement. La naissance est l'anéantissement de ce qui venait avant la naissance. Il y a tout ce processus cyclique de création, naissance, croissance, désintégration, et mort ; et chacune de ces étapes est anéantissement. Ce qui est impliqué dans la vie-en-Dieu est le renouvellement ou la re-création de la reconnaissance de la vérité à chaque instant. Cela n'a rien à voir avec une quelconque âme individuelle qui est maintenue et reste consciente de son individualité au cours de tous ces différents processus. C'est la consola­tion et çà n'est pas vrai. Ce qui est vrai c'est qu'au moment de la mort je serai anéanti. Au moment de la création je me réveillerai de nouveau, et l'étape précédente sera anéantie. Et ainsi de suite, tout au long des processus de naissance, croissance, désintégration ; et à nouveau la mort. Une fois que l'on est éveillé, on l'est pour toujours, et pourtant il n'y a personne pour être éveillé. Lee Lozowick en tant que véhicule ne sera pas dans les parages après la mort, pour aider les chercheurs sur le chemin ou guider les gens dans leurs rêves. Il y aura une forme totalement différente et je serai éveillé, présent avec cette forme, en dépit du fait que sera complètement anéanti, ce que les gens prennent pour ce « je » actuel.

Disciple : Pourquoi avons-nous peur de la mort ? Pourquoi ne pouvons-nous l'accepter ?
M. Lee : La raison pour laquelle les gens ont peur de la mort est très simple. Tout n'est qu'une question de ce à quoi on s'identifie. Si on s'identifie au véhicule, la mort représente certainement une peur terrible. La plus grande peur de toutes est la peur d'être anéanti. Dès lors que la moindre forme d'identification est en cause, on a peur de l'anéantissement. Pour qu'il y ait identification, il faut qu'il y ait un état fini ou une forme finie. C'est l'expression première de la dualité. N'importe quelle forme d'identification entraînera la peur de l'anéantisse­ment. C'est pour cela qu'en fin de compte vous devez abandonner jusqu'à la réalisation. Si vous vous y identi­fiez, vous aurez peur un jour d'être « non-réalisé ».
L'anéantissement n'est que la nature du change­ment. Si l'on reconnaît que l'on existe en qualité de ce qui est toujours anéanti, si l'on se reconnaît comme étant la nature même du changement, alors qu'y a-t-il qui puisse être anéanti ? Rien ! C'est cela le paradoxe : tout est anéantissement, et en vérité il n'y a pas d'anéan­tissement. Il y a simplement le changement parfait, le mouvement parfait. Réalisez que vous êtes littéralement la nature même du changement, et vous êtes Vivants. Une fois que vous êtes Vivants, vous ne mourez jamais. Vous n'aurez pas de fin et serez éternels. Cela n'est pas l'immortalité individuelle, c'est Dieu.
(In the Fire, Hohm Press 1978)


Philozophise (CD "Broken Angel", 2006)

"Love is the answer
When hate asks us why
We feel so helpless
As years pass us by
Do unto others
The best that you can
With gentle affection
And two helpings hands"





mercredi 17 novembre 2010

lundi 15 novembre 2010

dimanche 14 novembre 2010

Caméra cachée : Docteur Knock






Dans le cadre du dépistage des déviances comportementales, la médecine du travail a adopté de nouvelles méthodes qui ont déjà fait leurs preuves : dans cet exemple, le dernier sujet révèle une attitude clairement pathologique et justiciable d'un traitement adéquat s'il veut se maintenir dans le monde merveilleux du labeur quotidien...





samedi 13 novembre 2010

Oldies (but Goldies) : The Moody Blues






The Moody Blues est un groupe de rock britannique fondé en 1964 à Birmingham. Dès 1966, leur inspiration musicale se veut innovante et orientée vers une fusion de la musique classique et du rock : ainsi va naître leur second album, "Days of Future Passed", incluant Nights in White Satin, la chanson la plus connue du groupe.
(En savoir plus)





Nights In White Satin

Nights in white satin, never reaching the end,
Letters I've written, never meaning to send.
Beauty I'd always missed with these eyes before.
Just what the truth is, I can't say anymore.

'Cos I love you, yes I love you, oh how I love you.

Gazing at people, some hand in hand,
Just what I'm going through they can't understand.
Some try to tell me, thoughts they cannot defend,
Just what you want to be, you will be in the end.

And I love you, yes I love you,
Oh how I love you, oh how I love you.

Nights in white satin, never reaching the end,
Letters I've written, never meaning to send.
Beauty I've always missed, with these eyes before.
Just what the truth is, I can't say anymore.

'Cos I love you, yes I love you,
Oh how I love you, oh how I love you.
'Cos I love you, yes I love you,
Oh how I love you, oh how I love you.

Breath deep
The gathering gloom
Watch lights fade
From every room
Bedsitter people
Look back and lament
Another day's useless
Energy spent

Impassioned lovers
Wrestle as one
Lonely man cries for love
And has none
New mother picks up
And suckles her son
Senior citizens
Wish they were young

Cold hearted orb
That rules the night
Removes the colours
From our sight
Red is gray and
Yellow white
But we decide
Which is right
And
Which is an Illusion





mercredi 10 novembre 2010

lundi 8 novembre 2010

dimanche 7 novembre 2010

Caméra cachée : Course de lapins






Comment faire courir un lapin ? Proposez-lui une carotte !





samedi 6 novembre 2010

Oldies (but Goldies) : Vanilla Fudge






Vanilla Fudge est un groupe américain fondé à New York en 1967 qui fut l'un des rares liens entre le rock psychédélique et ce qui deviendra le Heavy Metal (suite sur Wikipedia).





Bang bang

I was five and you were six
We rode on horses made of sticks
I wore black, you wore white
You would always win the fight

Bang bang, you shot me down
Bang bang, I hit the ground
Bang bang that awful sound
Bang bang, my baby shot me down

Seasons came and changed the time
I grew up, I called you mine
You would always laugh and say
"Remember when we used to play"

Bang bang, you shot me down
Bang bang, and I hit the ground
Bang bang that awful sound
Bang bang, my baby shot me down

Music played and people sang
Just for me the Church bells rang
After echoes from a gun
We both vowed that we'd be one

Bang bang
Bang bang
Bang bang

Now when you're gone I don't know why
Sometimes I cry
You didn't say, "Goodbye"
Didn't take the time to lie

Bang bang, you shot me down
Bang bang and I hit the ground
Bang bang that awful sound
Bang bang, baby my baby shot me down

Bang bang




vendredi 5 novembre 2010

Décadence




decadence



Décadence

Sable d'automne

Et cher hiver
Ton froid me gagne
A temps couvert
J'ivre la mort
En alcool de synthèse
Et pluche des porcs
Pour en faire des prothèses
Sable d'automne
Et chairs diverses
Le roi du bagne
A découvert
Le livre des morts
Au rôle d'athèse
Par le fer crucifié
Des plus chers athés
Par le sang incongru
Du prince des singes nus
Par l'abîme de sarcasmes
Qui s'ouvrent sous la béance
De ton sexe mort
Madame la décadence
Tu n'as plus rien à dire
Ta vie a mis les voiles
Pour un pays lointain
Perdu au sein d'étoiles
Qui voguent à lame
Au grés des vagues
De l'océan pédant
Le vieil océan du temps
Le vieil océan dégoûtant
Rempli de poisons et de raisons
Et d'oraisons faites céans
Tant par la mer et par la chair
Que par les restes de la femme-livre
Qui opère la synthèse des morts
En alcool de givre
En alcool de neige
En alcool ivre
La femme malade qui ne sait pas
Que dans son ventre palpite une aube
La femme démente qui ne croit pas
Que dans son sein s'agite un rat
La femme fidèle qui ne sent pas
L'erreur fatale qui la gouverne
La femme putain reine de son corps
Qui distribue son sexe aux porcs

Mais...quel est le port où s'embarquent tous les désirs flétris, les envies ratées, les plaisirs avortés, tous les déchets de l'âme qui rampent pitoyablement dans les corridors du silence ? Où vont-ils tous ces soupirs impuissants, ces regrets, ces ambitions déçues, ces amours déchus ? Où sont donc les larmes de sang de mon coeur éclaté ? Où te caches-tu, toi dont la frêle tête blonde protège douloureusement de si tendres mystères, je te cherche, mais j'erre en vain dans le désert, connais-tu une porte où je puisse frapper et que l'on m'ouvrira sans rien me demander en échange, me laisseras-tu entrer chez toi pour réchauffer les cendres endormies de ton âme de verre ? Où puis-je diriger mes pas sans risquer la chute à chaque seconde, mais après tout, peut-être est-ce important de ne pas savoir, de ne jamais savoir jusqu'où peut aller cette intolérable décadence...

(M.Tardieu, 1975)


jeudi 4 novembre 2010

mercredi 3 novembre 2010

Turangalîla-Symphonie (2)






Cette symphonie est composée pour très grand orchestre, avec deux solistes : un piano et des ondes Martenot.
Messiaen a dit que le titre de la symphonie vient de deux mots en sanscrit, Turanga et Lîla, liés, et la traduction de Turangalîla peut être « chanson d'amour, hymne de joie, mouvement, rythme, vie et mort »[1]. Le compositeur a également pu écrire par ailleurs que ce mot ne signifiait rien mais avait été utilisé pour sa sonorité.[réf. nécessaire]
La Turangalîla-Symphonie est la partie centrale d'une trilogie sur le thème de Tristan et Iseult, thème d'amour et de mort. La première partie de ce tryptique est le cycle de mélodies Harawi — poèmes d'amour et de mort —, et la troisième partie est Cinq Rechants, pour chœur a cappella.
Pour l’auteur, il s’agit surtout d’une symphonie concertante. La diversité des pupitres requis, suivant en cela la liberté que le commanditaire lui avait laissée, comprend, les bois, le quintette des cordes, les cuivres dont une section étoffée de trompettes, mais aussi célesta et vibraphone qui peuvent rappeler le gamelan. La présence des ondes Martenot, mais aussi d'une "batterie" conséquente constituée notamment de triangle, cymbale turque et chinoise, maracas, tam-tam souligne combien, en orchestrateur avisé, Messiaen aimait la démesure d'une palette orchestrale vaste et puissante afin de créer des mélanges orchestraux très neufs.
L'écriture de piano est excessivement virtuose et contient beaucoup des innovations contemporaines que Messiaen développe à cette époque dans d'autres fresques pour cet instrument Vingt Regards sur l’Enfant-Jésus ou Visions de l'Amen. L'omniprésence de cet instrument et son importance dans la partition font de cette symphonie un véritable concerto pour piano et orchestre. Turangalîlâ exprime tout à la fois, vie et mort, énergie et joie, chant, mouvement, rythme... Messiaen organise ce chant colossal en composant quatre thèmes principaux, détaillés au début de la partition.
(Source : Wikipedia)






lundi 1 novembre 2010