mardi 7 février 2017

L'écoulement des formes





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C'est le chant du ruisseau
Qui vibre en chaque goutte d'eau
Et se fige en silence
Pour poursuivre sa danse.

Lorsqu'en saluant le vent
Il se glace en passant
Et pour nous étonner
Fais semblant de rêver.

Accroché tout en haut
des feuilles et des rameaux
Sculptant éperdument
Le moindre mouvement.

Et ton regard le suit
Se mêlant à la vie
Qui chemine avec lui
En un souffle infini.

Lise



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4 commentaires :

Lilou a dit…

C'est le chant du ruisseau
Qui vibre en chaque goutte d'eau
Et se fige en silence
Pour pousuivre sa danse.

Lorsqu'en saluant le vent
Il se glace en passant
Et pour nous étonner
Fais semblant de rêver.

Accroché tout en haut
des feuilles et des rameaux
Sculptant éperduement
Le moindre mouvement.

Et ton regard le suit
Se mêlant à la vie
Qui chemine avec lui
En un souffle infini .

Chronophonix a dit…

Merci, Lise, d'avoir écrit le texte qui accompagne depuis toujours ces photos.

Lilou a dit…

C'était le soir, il était tard, je suis passée ..
et le ruisseau m'a accrochée, tu sais comme pour la photo..
l'air de rien, en chantant..

Merci Michel .

Claire a dit…

Oui, il est vraiment surprenant de contempler ce que peuvent créer le temps d'une toute petite parcelle d'hiver, un peu d'eau, des branches et du bois, du froid, quelques feuilles et de la terre, et aussi de la pierre... Et la vie soudain apparait sous d'autres formes...
Je ne sais pas si dès lors elle ralentit ou même si elle est ainsi plus figée ; seule certitude sa beauté qui me touche