jeudi 31 décembre 2009

Blissful laughter






Une merveilleuse phrase pour le dernier jour de l'année, par Amma (trouvé sur sa page MySpace)
.

"A person who laughs as his own weaknesses and faults recognizes his own ignorance. He can easily evolve and rise to the Supreme State of Blissful Laughter."

Une personne qui rit de ses propre faiblesses et erreurs reconnait sa propre ignorance.
Elle pourra facilement évoluer et atteindre l'Etat Suprême du Rire Divin.


mercredi 30 décembre 2009

Sourires de fin d'année (3)






Encore une caméra cachée, canadienne cette fois-ci, en provenance de la série "Just for laughs Gags".






Sourires de fin d'année (2)




"Drame dans le clapier", une fable express par Gotlib et Brétécher.


drame dans le clapier


samedi 12 décembre 2009

"Pourquoi se marier ?" par André Frossard




André Frossard

André Frossard


"Que votre Oui soit un Oui et non un acquiescement flottant sur les fonds sournois de la réserve mentale".

Né le 14 janvier 1915, à Colombier-Châtelot (Doubs, France). Converti au catholicisme à 20 ans, dans la chapelle des religieuses de l’Adoration, rue d’Ulm.
Arrêté par la Gestapo de Lyon le 10 décembre 1943, il est interné dans la «Baraque aux juifs» du fort Montluc. Après la guerre, il écrit pour diverses publications, dont Temps présent, L’Aurore, Nouveau Candide, Point, R.T.L., Paris-Match et autres.
En 1990, il avait écrit environ quinze mille articles. Ses livres sont pour la plupart d’inspiration religieuse.
Jean-Paul II l’a fait grand-croix de l’ordre équestre de Pie IX. Il est mort le 2 février 1995.



Voir l'article le concernant sur Wikipedia.
Lire aussi dans les dossiers de "Nouvelles Clés" un entretien entre André Frossard et Gilles Farcet publié sous le titre évocateur "Dieu, le diable et moi".



Extrait de l'ouvrage "Dieu en question", dans lequel André Frossard répond à des questions posées par des élèves de terminale, voici ce qu'il nous dit du mariage.


Présentation du livre

L'auteur a reçu, de la part d'élèves de terminale, garçons et filles, plus de deux mille questions (qui se répètent souvent) auxquelles il a donné des réponses tirées de son expérience de la foi.
Afin qu'on ne l'accuse pas d'être sourd à l'objec­tion, il a tenu le plus grand compte des arguments explicites ou implicites de ses interlocuteurs.
En conséquence, toutes les réponses commencent, sauf la première et la troisième, par un exposé entre guillemets, bref, mais loyal, des objections qui découlent de la question elle-même.
Vient ensuite un « cependant », généralement pris dans l'Écriture, et qui semble contredire à son tour l'objection.
La réponse proprement dite vient en dernier lieu. Les trois parties de chaque petit chapitre sont nettement séparées, de manière à éviter toute confusion. Presque toutes les questions sont traitées de cette même façon, que le désir de se montrer aussi « ouvert » que possible a dictée à l'auteur.
Par ailleurs, on remarquera que celui-ci emploie mainte fois le mot de « charité » : il ne le préfère pas au mot « amour », mais il désigne plus expressément, à ses yeux, l'amour désintéressé, primordial et créateur, qui est cause et fin de toutes choses.
Enfin, on sera peut-être surpris que les élèves de terminale parlent si peu de politique. L'auteur l'a été lui-même.



Pourquoi se marier ?




« L'un de vous est même plus précis et demande : "Pourquoi se marier au risque de se tromper ?" D'humeur à plaisanter, on répondrait : "Pour ne se tromper qu'une fois." Mais un sujet aussi grave n'est pas à prendre à la légère. C'est un fait que les ma­riages sont moins nombreux qu'autrefois, et les divorces beaucoup plus fréquents. On comprend que devant les incertitudes de l'avenir, le chômage, les menaces que la guerre fait peser sur les peuples et la pollution sur la nature, le changement quotidien des données de la vie morale et les échecs de l'âge mûr, qui ne donne guère l'exemple de la constance, la jeunesse hésite à entrer dans le mariage, cette prison où l'on n'a pour toujours qu'un seul et même compagnon de cellule. L'expression "les liens du mariage" exprime bien l'état de dépendance perpé­tuelle dans laquelle les époux sont condamnés à vivre. L'idée de passer toute son existence avec la même personne ne sourit guère à beaucoup.

Sans compter que le risque est grand de commettre une erreur dans le choix du partenaire. C'est pourquoi l'Église, ou en tout cas des gens d'Église, fort avertis de l'évolution des moeurs, avaient mis au point dans un diocèse de France la formule dite du "mariage à l'essai", qui consistait à accorder aux futurs époux un temps de vie commune après lequel ils pourraient prendre un engagement définitif. Il ne semble pas que cette expé­rience ait été poursuivie et étendue, et c'est dommage : elle montrait que l'Église est parfois capable de comprendre son temps, et de s'adapter aux menta­lités nouvelles. »


Cependant, « Que votre oui soit oui », dit l'Évangile.



La comparaison du mariage et de la prison est une banalité de vaudevilliste. De toute façon, mieux vaut être deux dans une cellule qu'y rester seul à regarder les murs se rapprocher avec l'âge jusqu'à l'emboî­tement final. Vivre toute sa vie avec la même personne est une perspective dissuasive quand on ne l'aime pas ; mais quand on l'aime, la vie paraît excessivement courte. D'ailleurs, ceux qui craignent si fort de passer toute leur existence « avec une seule personne » finissent par la passer avec leur seule personne elle‑même, et le risque de la monotonie est encore plus grand ; l'amour pouvait achever de les tirer du néant, l'égoïsme les y renvoie plus ou moins lentement.

Avant d'être, semble-t-il, abandonnée, la formule du « mariage à l'essai » avait inspiré à Jean-Paul II cette parole décisive : « On ne se marie pas plus à l'essai qu'on ne meurt à l'essai. » Le rôle des Églises chrétiennes serait bien misérable, s'il consistait simplement à aggraver de ce qu'il leur reste d'autorité les erreurs du monde, à flatter ses penchants et à concélébrer ses aberrations avec lui. Le mariage à l'essai méconnaît l'essence même du mariage, qui est un engagement sans retour, ratifié par un « oui » réci­proque sans réserve, un « oui » qui soit un « oui » et non pas, comme il m'est arrivé de l'écrire, un acquiescement flottant sur les fonds sournois de la réserve mentale. La moindre faille dans ce « oui » initial est une cause de dislocation à terme. Dit avec sincérité, il est un gage de bonheur, un bouclier contre le malheur ; il produit non pas un « couple », attelage sujet aux écarts, mais un seul être (Chesterton disait drôlement et véridiquement « un quadrupède ») réalisant entre l'homme et la femme une union bien supérieure à toutes les promesses d'égalité que la loi ne parvient pas à tenir : « Ils ne feront qu'une seule chair », dit l'Évangile. La suite est une question d'amour, donc de fidélité — et dans les moments diffi­ciles, d'honneur.



Certes, l'échec est toujours possible, soit que le quadrupède ait été malformé à la naissance par un « oui » réticent, soit que la tentation le désarticule, mais ces chances sont réduites lorsqu'on a pris Dieu à témoin de son engagement, et que l'on a fait de lui le dépositaire de sa parole. Bien entendu, il y a d'autres causes de séparation que celles que je viens de dire : l'Église en a toujours reconnu plusieurs, auxquelles, depuis peu, elle a ajouté l'immaturité. Mais ce qui nous intéresse ici, ce ne sont pas les causes d'échec, encore que l'on en ait donné une dont on ne parle guère, et qui est la mauvaise qualité du « oui » sacramentel ; ce que nous cherchons, ce sont les conditions de la réussite, et il est clair que la plus décisive est la loyauté de l'engagement, et l'abnégation qui s'ensuit, car lorsque Dieu est associé à un acte humain, ce n'est plus notre manière d'être qui compte, mais la sienne qui tend à s'imposer, et tout chrétien devrait savoir qu'elle est faite de vérité, de désinté­ressement et surtout d'oubli de soi, comme le montre la vie du Christ, qui se désigne lui-même dans l'Évangile sous l'appellation de « Fils de l'homme » pour essayer de nous faire comprendre qu'il ne se prévaudra pas contre nous de son essence divine.


L'« union libre » n'est pas une union, mais une association incluant une faculté de rupture dont il est bien rare que l'on ne finisse pas par user un jour ou l'autre, et sa « liberté » n'est qu'une forme d'avarice où les partenaires veillent sur leur « moi » comme Harpagon sur sa cassette. L'« union libre » n'est qu'une conjonction provisoire de solitudes, et les enfants qu'elle pourra mettre au monde seront des orphelins, tantôt de père, tantôt de mère, ou des deux à la fois. Il y a un risque à refuser le risque du don de soi : celui de se retrouver seul, dans la compagnie lassante de ses regrets et de ses déceptions, après un certain nombre d'expériences qui se font de plus en plus rares et de moins en moins concluantes avec les années, sans parler de la fraîcheur, qui s'en va, et de la sécheresse, qui vient.


Si dans l'amour le corps vient en premier, il y a de fortes chances pour que l'amour se dégrade avec lui, et que ce qui a commencé dans le désir finisse dans l'aversion.

Si au contraire, comme nous le pensons et comme nous l'avons dit au chapitre précédent, ce qui vient en premier est l'âme, cette expression mystérieuse, touchante et brillante de la personne, alors l'amour durera autant qu'elle, il s'augmentera même de tout ce qui peut atteindre les corps, les rides seront les précieux sillons d'un chagrin partagé ; l'amour fidèle à son principe divin ne finira pas plus que lui, et l'âge ne fera que le rajeunir, tant il est vrai qu'il n'y a qu'un seul moyen de rester jeune, qui est d'être éternel.

Le mariage chrétien est un pari sur l'absolu ; mais il, faut pour le gagner, ne rien réserver de soi-même. C'est sans doute pourquoi l'on parie moins, depuis quelque temps.

Le mariage ne fait pas deux captifs, mais une liberté en deux personnes. On peut dire qu'il est réussi lorsque, l'engagement initial ayant été tenu, et l'union étant devenue naturelle, les époux n'ont même plus l'impression d'être mariés.


vendredi 11 décembre 2009

Caméra cachée : Sax'eauphone!







Voilà un saxophoniste qui ne laisse pas son auditoire indifférent!




jeudi 10 décembre 2009

"Ink" et les pirates...




Snap Ink


Un cinéaste a vu la notoriété de son dernier film prendre une ampleur insoupçonnée. La raison ? Le long-métrage s'est tout simplement retrouvé sur les réseaux peer-to-peer. Le réalisateur reconnait que s'il n'est pas vraiment enthousiaste à l'idée de savoir que des internautes profitent son oeuvre gratuitement, il est quand même ravi de l'exposition offerte par le P2P.

Le peer-to-peer, fléau du droit d'auteur ou excellent outil marketing ? Si les avis ne manqueront pas de diverger sur la question, selon si l'on se place du côté des ayants droits ou des internautes adeptes du téléchargement, Jamin Winans a désormais une opinion bien tranchée. Réalisateur et scénariste sur le film Ink (voir le Site officiel), le cinéaste estime que "s'il n'est guère enthousiaste de voir des personnes découvrir son film sans payer", est cependant ravi de voir BitTorrent offrir à son oeuvre "une exposition absolument exceptionnelle".



"Ce week-end, quelque chose d'assez extraordinaire s'est produit" explique Jamin Winans dans un e-mail envoyé aux personnes impliquées dans ce projet. "Ink a été piraté. Quelqu'un l'a publié sur différents sites dédiés au piratage, et nous savions que cela arriverait. Ce que nous n'avions pas prévu, c'est son succès fulgurant (en moins de 24 heures). Ink est devenu le film le plus téléchargé sur plusieurs sites spécialisés, avec parfois 150 000 à 200 000 internautes".



"Résultat, Ink est désormais classé 16e sur IMDB et fait parti des 20 films les populaires au monde" s'exclame le cinéaste. "Tout a commencé à la suite d'un buzz totalement souterrain que vous nous avez aidé à créer. Nous n'avions pas de distributeur, pas de véritable plan publicitaire, mais le bouche à oreille que vous avez débuté à fait exploser le film dès lors qu'il été disponible en ligne" analyse-t-il. "Nous ne savons pas exactement ou tout cela va nous mener, mais une telle exposition est incontestablement une chose positive" termine-t-il.



Ce n'est pas la première fois qu'un contenu culturel piraté a propulsé ou relancé les ventes et l'exposition d'un artiste. Cet été, nous vous rapportions l'histoire d'un groupe de musique, Barcelona, qui a vu son succès exposer suite à l'utilisation illégale d'un de leurs morceaux de musique dans une vidéo vue plus de trois millions de fois sur YouTube. Et ce n'est pas un cas isolé : Moby et Coldplay avaient expérimenté une diffusion gratuite de certains morceaux. Résultat, l'un et l'autre s'étaient retrouvés en tête des ventes sur les plates-formes musicales... peut-être qu'un jour, les ayants droits en tireront les conclusions qui s'imposent...



Un petit mot sur le film. Je l'ai vu à deux reprises, et j'ai été émerveillé à chaque fois par ce conte métaphysique et poétique où s'affrontent les éternelles valeurs du bien et du mal à travers deux personnages (un père et sa fille) qui vont se trouver confrontés aux 2 mondes
de l'inconscient, le monde lumineux et le monde ténébreux. Le DVD est disponible à la vente sur le site officiel, mais en anglais et sans sous-titres français. Je profite de l'occasion pour remercier les personnes anonymes qui prennent la peine de traduire bénévolement ces sous-titres pour que nous disposions d'une version à télécharger avec, donc, un sous-titrage en français, en attendant une éventuelle édition francophone officielle. Pour ceux que ça intéresse, voir dans les commentaires.
(article emprunté à Numérama)




mardi 8 décembre 2009

La phrase du jour






Trouvée dans un article du blog Eveil Spirituel, article qu'il est d'ailleurs fortement recommandé de lire, cette formule délicieuse:
"La peur est de loin beaucoup plus contagieuse que la grippe."


samedi 5 décembre 2009

Erleuchtung garantiert (Illumination garantie)






Erleuchtung garantiert (Enlightenment Guaranteed) is a 1999 German film directed by Doris Dörrie about two brothers, Uwe (Uwe Ochsenknecht) and Gustav (Gustav-Peter Wöhler), who travel to Japan to sort out the mess of their lives. Their plan is to visit the Sojiji Monastery in Monzen, near Tokyo. On their way there, in a rather literal Buddhist moment, they lose all of their belongings. When they at last make it to the monastery, they find that even there, enlightenment can be elusive.



Though I haven't seen a lot of John Casavetes' work, apart from that, this is one of the best modern (read: 1985-present) uses of 8mm film that I've ever seen. This is one of those films you just have to throw yourself into. I'm not drawing a parallel between the two--at all!--but people who have seen 'Neon Genesis Evangelion' will recall how by the end of the first episode you had no idea what was going on, right alongside the principle character. This movie has a similar feel--It's unsettling at first, but ultimately presents itself as a curiously wonderful juxtaposition of warmth and coldness; interrelation and alienation. Very few films are capable of doing this well. Oh, and as a side note -- this is NOT one of those aimlessly meandering art films hell-bent on using 8mm to generate indie/underground credibility. In sum: a thoughtfully rewarding film about two very different German brothers lost in Japan and discovering a fine gray line dividing the point of no return from the point just before it and overcoming that dualism.



Je me suis plongé avec délice dans ce film hier soir, et j'ai souhaité partager ici cette histoire philosophique et spirituelle mettant en scène "deux frères allemands, très différents l'un de l'autre, qui se retrouvent complètement perdus au Japon, découvrent qu'une ligne très fine sépare le point de non-retour du point situé juste avant, et vont être amenés à dépasser cette dualité."



Les infos ont été trouvées sur avaxhome.
Ce film est en vente en version originale, mais je n'ai trouvé aucune trace de sous-titres français dans les DVD proposés. Donc, pour ceux qui ne parlent pas l'Allemand et que cette oeuvre intéresse, RV dans les commentaires. (film en VO, sous-titres anglais, espagnols, français)
Pour terminer, quelques brefs extraits, juste histoire de vous inviter à en voir plus...





vendredi 4 décembre 2009

Caméra cachée : Aider son prochain





Le gag classique, mais cette fois-ci, ce n'est pas la "victime" qui est la plus gênée, et pour cause!




jeudi 3 décembre 2009

Les bons plans du net




lune

Sur le net, non, vous n'aurez pas la lune, mais pourrez tout de même visiter de bien intéressantes planètes; ainsi, voici une sélection de quatre blogs, tous sur "avaxhome", avis à ceux qui aiment fouiner (et éventuellement engranger le fruit de leurs récoltes...).

Pensez tout de même à activer les bloqueurs de pop-up et de pub sur le navigateur (adblock+ sur firefox est excellent), avaxhome peut parfois réserver des surprise et un internaute averti en vaut beaucoup plus!

Rizome
Ftran
Supersoft
Galmuchet


vendredi 27 novembre 2009

Caméra cachée : On entend crier les statues






Comme c'est vite fait de se sentir coupable, même si on n'y est pour rien!




vendredi 20 novembre 2009

Caméra cachée : Essayage public!






J'ai toujours été un inconditionnel des "caméra cachées", depuis les temps lointain où, encore en possession d'un poste de télévision, je me régalais avec les sketchs de la "caméra invisible" de Pierre Bellemare et Jacques Rouland, jusqu'à aujourd'hui où le net regorge de clips en tous genre mettant en scène des personnes se faisant piéger dans des situations totalement inattendues, imprévisibles, voire impossibles ! Je vais donc de temps à autre publier un clip trouvé ici ou là; celui-ci est extrait de la série télévisée "Naked and Funny", en provenance d'Ukraine.



A noter que la plupart de ces sketchs sont obtenus par un montage serré des divers prises pour obtenir un format d'une durée assez courte. Le son est lui aussi rajouté après coup. Ce n'est pas du temps réel comme ça l'était pour certains épisodes de la "caméra invisible" qui pouvaient durer jusqu'à dix minutes!


jeudi 12 novembre 2009

Mille Sabords !






Si Tintin et le capitaine Haddock étaient toujours de ce monde, ils seraient sans doute effarés d'assister aux tribulations absurdes, mais quelque peu dramatiques que peuvent provoquer la sacro-sainte "propriété intellectuelle" associée à l'avidité sans limite d'ayant-droits sans scrupules. Voilà l'histoire, extraite d'un article de Sylvie Coma paru dans Charlie-Hebdo.

article 01



Photobucket

aux sources


Le témoignage de Bob Garcia :


Je suis auteur de polars aux éditions du Rocher, Payot-Rivage, etc. (Testament de Sherlock Holmes, Duel en enfer, etc.) En marge de mon travail d’écrivain, j’ai publié par passion cinq petites études tintinophiles, tirées en moyenne à 500 exemplaires chacune, dans le cadre d’une association loi 1901 (Promocom) dont le but est de faire connaître Tintin auprès du jeune public. Certains de ces ouvrages contiennent quelques vignettes de Hergé au titre de la courte citation graphique et conformément à la convention de Berne de 1974 (Acte de Paris), afin d’illustrer le propos. Ni Promocom, ni moi-même n’avons gagné un centime avec ces publications quasi confidentielles. Un premier jugement – Tribunal de Nanterre – dans le procès opposant Moulinsart/Rodwell à Promocom/Garcia a admis le principe de la courte citation graphique. Moulinsart a fait appel. Le jugement en appel – Tribunal de Versailles – infirme sur le principe de courte citation graphique et me condamne à payer 48.619,76 euros pour contrefaçon, sur des accusations mensongères et non démontrées de Moulinsart (on me demande par exemple de retirer des images de Tintin d’un de mes ouvrages qui n’en contient aucune !)


L’association Promocom étant acculée au dépôt de bilan, et ne pouvant pas moi-même payer cette somme (je ne suis pas imposable en 2009), j’ai donc proposé par voie d’avocat une solution de conciliation à Moulinsart qui connaît fort bien ma situation financière. Réponse de Moulinsart : commandement de payer avec saisie-vente de ma maison, au plus tard mercredi 28 octobre. Je souhaite dénoncer les procédés orduriers de Rodwell et de Moulinsart, en montrant la violence et l’acharnement dont ils font preuve à mon égard. Un proche de Rodwell a annoncé publiquement devant témoins que "Rodwell veut la peau de Bob Garcia". Jusqu’à quand les juges vont-ils donner raison à un tel personnage ?

généalogies


Les liens, pour en savoir plus :
Bob Garcia contre Moulinsart
Le blog de Bob Garcia
Actua-BD

Jules et rg



mercredi 30 septembre 2009

Ramesh Balsekar passed away 27 september 2009






Publié sur ce forum, le témoignage de Wayne Liquorman:

Sunday September 27

Dear Friends,


It is with the heaviest of hearts I write to tell you of the passing of our
beloved Ramesh this morning at 9AM in his home in Bombay.

Ramesh was truly an extraordinary being. His life as a successful banker, author
and spiritual teacher directly enriched the lives of tens of thousands of people.

Having met Ramesh was one of the defining moments of my life, as I am certain it
was for many of you reading this note. His generous spirit, open, loving presence and spiritual Understanding combined to make him one of the truly great Sages of the 20th century. We are truly blessed to have known him...be it "in person" or through his Teaching.

Ramesh lives on. Though his body will this afternoon return to the elements, his
spirit lives on in his books and in the hearts of all of us who have known him and loved him..

Twenty-two years ago Ramesh came into my life. Today his body leaves it. To have
been able to walk beside him for all this time and to have been able to bow at his feet has been for me the greatest of life's blessings.I shall miss not being able to sit with Ramesh, to watch a cricket match together or to share some chocolate or to laugh at some silly joke he reads from the newspaper. It is not the greatness of the man I will miss most...his greatness remains undiminished by his death...it is the little things, the human things..

Many of you will share with me the exquisite human pain of the loss of a beloved
one. If you take a moment to quietly look at it you may see in the pain the wonder of Life itself. If so, it will truly be the Grace of The Guru.

With much love,
Wayne
.



Un court extrait du livre de Satyam Nadeen, "De la prison à l'éveil", où l'auteur témoigne de l'influence décisive qu'a eu l'enseignement de Ramesh Balsekar sur son propre éveil.

Aussi étrange que cela me soit apparu à l'époque, un an environ après avoir entamé mon séjour à la pri­son du comté, j'ai été frappé sans crier gare par un sou­dain intérêt pour la lecture des oeuvres de Ramana Maharshi, un nom mentionné par Rajneesh, appartenant à un lointain passé. Au cours de l'année précé­dente, j'avais écouté plusieurs centaines de bandes d'entités médiumniques telles que Ramtha, Seth, Abra­ham, Lazare, Emmanuel, Bartholomé (mon favori), et d'innombrables maîtres « ascendants », tels Sananda et Ashtar. Alors, voyez-vous, il était tout à fait incongru à l'époque que je me mette à réclamer Ramana. Aux livres de Ramana, mon ami joignit un exemplaire de "I Am That" de Maharaj Nisargadatta, et les deux tomes de "Wake Up and Roar" de Poonjaji. Fondamentalement, tous ces gens sont issus de la tradition spirituelle de l'advaita vedânta, ou non-dualisme, et maintiennent un cap dis­cursif plutôt abrupt et direct le long de cet axe. C'était assurément intéressant. Je pris plaisir à l'époque à lire et relire leurs oeuvres, car il y avait là quelque chose qui m'interpellait.
Mais ce fut un certain Ramesh Balsekar qui réellement me liquida pour de bon. Un livre de ce studieux disciple de Nisargadatta m'est tombé entre les mains un an plus tard, une fois encore tout à fait fortuitement, après avoir lu les autres camarades advaitins. Il ne dit rien de différent de ce que disent ses copains, mais il le dit avec Grâce, en une seule phrase, qui m'a atteint droit au coeur intuitif. Ses maîtres m'avaient déjà donné à digérer quelques morceaux de choix de l'advaita, qui avaient mis un an à me transper­cer jusqu'au coeur, accompagnés de nombreux mantra, comme le questionnement « Qui suis-je ? », et voilà ! La foudre a frappé en plein dans le mille. Tout ce que disait Ramesh dans son chapitre d'ouverture c'était « Cons­cience (Source — Tout Ce Qui Est — Dieu) est tout ce qu'il y a. » OUAH ! ! ! Il le dit et je pouvais réellement le voir, le savoir, m'y embraser et commencer à le vivre. (pp 26-27)



jeudi 24 septembre 2009

Mécanique des fluides




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Autobiographie en cinq actes (Portia Nelson)

1.Je descends la rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir:
Je tombe dedans.
Je suis perdu...je suis désespéré.
Ce n’est pas ma faute.
Il me faut longtemps pour en sortir.

2.Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir:
Je fais semblant de ne pas le voir.
Je tombe dedans à nouveau.
J’ai du mal à croire que je suis au même endroit,
Mais ce n’est pas ma faute.
Il me faut encore longtemps pour en sortir.

3.Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir:
je le vois bien.
J’y retombe quand même...c’est devenu une habitude.
J’ai les yeux bien ouverts,
Je sais où je suis,
C’est bien ma faute.
Je ressors immédiatement.

4.Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir:
Je le contourne.

5.Je descends une autre rue...


bulles

Une interprétation de ce poème, trouvée sur Evolute-conseil

Les 5 stades de la libération d'un de ses schémas :

1) Stade de l'inconscience complète :

Je marche mécaniquement et tombe donc mécaniquement. ("L'homme est comme une marionnette dont les stimulations extérieures tirent les fils."(4)) En conséquence je souffre et me vis comme victime impuissante du monde extérieur, je me débats dans mon malheur, inconscient de toute possibilité d'évolution.

2) Stade de la prise de conscience du problème :

Je retombe dans le même trou en marchant tout aussi mécaniquement. Là, je m'indigne de la répétition de mon comportement, je nie même la réalité ("ce n'est pas possible".) Je suis toujours malheureux et aveugle, mais j'en ai marre, donc je suis prêt à prendre conscience que j'y suis pour quelque chose.

3) Stade de la prise de conscience du schéma :

Je prends conscience de la réalité de mes schémas et de mes croyances, avec lucidité, je vois "ce qui est", sans culpabiliser ni désespérer mais en en prenant toute la responsabilité. N'étant plus dupe de moi-même, ayant fait naître le témoin conscient en moi, je me sens mieux et bien qu'étant tombé dans le trou, je parviens à moins souffrir.

4) Stade de la pratique consciente :

Je suis parfaitement conscient de mon schéma et de ce qu'il me fait faire. Grâce à une attention vigilante permanente, je ne retombe plus dans mon schéma duquel je me dégage peu à peu.

5) Stade de l'autonomie :

Je suis libre de mon schéma. Conscient de moi, je n'agis pas en réaction mais d'une manière autonome et créatrice… à moins que je ne rencontre un autre schéma…"

trou


vendredi 18 septembre 2009

Dura lex, sed lex...






Trouvé sur Agora-vox

Article L3110-3
Modifié par Loi n°2007-248 du 26 février 2007 - art. 1 JORF 27 février 2007
Transféré par Loi n°2007-294 du 5 mars 2007 - art. 1 JORF 6 mars 2007 en vigueur le 29 août 2007
Nonobstant les dispositions de l’article L. 1142-1, les professionnels de santé ne peuvent être tenus pour responsables des dommages résultant de la prescription ou de l’administration d’un médicament en dehors des indications thérapeutiques ou des conditions normales d’utilisation prévues par son autorisation de mise sur le marché ou son autorisation temporaire d’utilisation, ou bien d’un médicament ne faisant l’objet d’aucune de ces autorisations, lorsque leur intervention était rendue nécessaire par l’existence d’une menace sanitaire grave et que la prescription ou l’administration du médicament a été recommandée ou exigée par le ministre chargé de la santé en application des dispositions de l’article L. 3110-1.



jeudi 10 septembre 2009

Bonnes nouvelles




trio

Les 4 saisons du jardinage bio: Editorial du numéro de septembre/octobre 2009


edito


dimanche 6 septembre 2009

In Memoriam Alexis Meier






Alexis Meier, ingénieur du son réputé pour sa compétence et son sérieux travaillait depuis 1988 pour la danse, le théâtre, l'opéra, la musique contemporaine et le conte.
Attachant un intérêt particulier à la relation entre les modes de diffusion sonore et le contenu de l'œuvre, il a ainsi sonorisé de nombreux spectacles de danse contemporaine, notamment ceux de Jean Gaudin, Herman Diephius, Stéphanie Aubin, Lorraine Gomez.
Il a effectué également des enregistrements et mixages d'œuvres de compositeurs de musique contemporaine (Denis Levaillant, Michel Musseau, Jean-François Vrod).
Depuis une dizaine d'années, Alexis Meier participait aux créations de spectacles pour la Compagnie du Cercle et Abbi Patrix dont il assurait la diffusion en tournée.
Il nous a quitté dans la nuit du 4 au 5 septembre 2009 pour entreprendre en solo la longue traversée des labyrinthes célestes.


Je dédie à sa mémoire ce pur diamant musical, le "Pie Jesu" du requiem de Duruflé.

Pie Jesu Domine,
dona eis requiem.
Dona eis requiem
sempiternam.




samedi 29 août 2009

How does one find Peace and Tranquility?






Q
: How does one find Peace and Tranquility?


Amma: To attain peace and tranquility, our false way of thinking must first be changed. At present, we think that peace comes from the outside. This false conception makes us search for peace outside, in the objects of the world. But, in fact, real peace comes from within. The eternal fountain of peace is inside you. This truth should be understood first; then you can begin to work towards it.

To attain that peace, we should give solitude to the mind. Solitude does not mean to sit in an isolated, lovely place filled with natural scenery. Such a surrounding is only a small factor in helping us to gain real solitude. Real solitude is solitude of the mind; it means one-pointedness of the mind. Even a beautiful place will not give you peace of mind if the mind is agitated. Therefore, we should try to make the mind quiet by slowly controlling, gradually restraining it from running after anything and everything. In the beginning you should make a deliberate attempt to subdue the mind. Then, in due course, it will become effortless.

Do not mingle too much with people. Human being have a tendancy to follishly develop attachment to another person, especially if they are around him for some length of time and it is someone they like. You meet a stranger in a bus stop or railway station. He comes near you and tells you, "I don't know why, but I feel a spontanious love for you. You are really something special!", or some such flattery like this. Not only does our ego get puffed up, but we also quickly develop an attachment to the person. You "love" him. Why? Because he praised you. Then one day he criticizes you for something. The moment he does that, you turn against him, you hate him, you get angry with him, and sometimes you may even want to kill him. Your love is gone and hatred takes over in its place. Any peace you had is now gone, and tranquility has long since flown the coop. Why does this all happen? Because of agitation of the mind.

The same is the case with a pleasure-giving object. You see an object. You develop an attachment to it. You wan to somehow aquire it; therefore, you work hard and earn enough money to get it. But at the last moment, your hard-earned money is stolen by a thief. Disappointment and anger come because you could not fill your desire. Your desire is obstructed. You could not get the thing which you had become attached to. You get angry with your wife, your children, and whomever you happen to meet. Again, your peace is gone. Thus this peace comes and goes. It never remains with you. Why? Because of your likes and dislikes. Therefore, try to be detached by keeping your mind away from the things that want to gush into it.

Whatever sorrow comes, take refuge in God. Tell Him, "O Lord, one person scolded me unnecessarily. I am very sad." Do not tell another person about it. Tell God instead, "O Lord, is it because I did something wrong? Or Lord, is it You who made him do that? If so, then I have no problem because only if I have attachment would I become upset, wouldn't I? No, I don't have that. I don't have any attachment to the words or thoughts which other people utter. You are the one real nature of my Self. When I have to deal with others, I should depend solely on You and not on others, shouldn't I?"

Would we turn around and bark at a dog which barks at us as it stands by the side of the road? No, we wouldn't. If we did, then we would also be like a dog, wouldn't we? We have a world of our own with a cultureand behavior befitting human beings. In the same way, each object or person has its or his own nature. We will state a very high opinion about a certain object or person without having observed properly. Afterwards we will remark, "Alas, I am ruined. I should not have bought that thing," or "Oh, what the heck! He acted in such an obnoxious way." It was we who had first given the object or person a "big certificate" or a high opinion, and afterwards we regretfully realize the real nature of the person or object. As a result, we hate or condemn what we first admired. We should persue our path, accepting and considering other persons and objects as having their own nature and not expect them to be otherwise. Do not pause to question or criticize their behavior. We are much more like a dog than a dog itself if we turn around to question without understanding the proper nature of things.



Source : page MySpace d'Amma.



vendredi 28 août 2009

Hadopi (résumé)






Le texte français revient au Parlement le 14 septembre

C'est à partir du 14 septembre que le texte du projet de loi relatif à la protection pénale de la propriété littéraire et artistique sur Internet (dit Hadopi 2) devrait être soumis à un vote solennel, lors de la reprise des travaux du Parlement. Selon ce texte, "des agents habilités et assermentés devant l'autorité judiciaire" constateront les faits. Les petites infractions pourront être traitées par ordonnance pénale, procédure simplifiée déjà utilisée dans les excès de vitesse automobile, par exemple. Les cas plus importants - mais le texte reste flou sur la limite entre petites et grandes infractions - seront traités au tribunal correctionnel, à juge unique (au lieu de trois juges). Une amende de 1 500 euros pourra être exigée ; s'il y a poursuite pour contrefaçon, c'est l'amende actuelle de 300 000 euros et deux ans d'emprisonnement. L'obligation pour l'usager de sécuriser la connexion Internet reste un point délicat : si l'adresse d'un utilisateur apparaît sur un réseau pirate, c'est l'abonné titulaire de la ligne qui sera exposé aux poursuites, qu'il ait ou non piraté. Une notion de "négligence caractérisée" qui devrait à nouveau faire débat.


mercredi 26 août 2009

Archives





Le premier groupe "pro" auquel j'ai participé...




lundi 17 août 2009

Thérémine






Article envoyé sur facebook par Bruno Letort.

Peu de temps après la révolution d'octobre, Lev Sergeïevitch Termen, dit Léon Thérémin invente "l'étherophone" ; un instrument qui utilise le champ électromagnétique émis par deux antennes pouvant ainsi produire des sons selon le mouvement des mains, sans aucun contact physique de l’instrumentiste. Présenté à Lénine en 1922, l'instrument fascina l'assemblée et le fondateur de l'URSS à tel point qu'il en fit construire immédiatement 600 exemplaires pour qu'il soit joué dans tout le pays.

L'étherophone, rebaptisé le Thérémine, devint alors un enjeu pour la propagande léniniste; l'instrument correspondait en tout point à la définition du socialisme d'alors : "la dictature du prolétariat et l'électrification en plus". En 1927, Léon Thérémin devint alors l'ambassadeur de son instrument et de l'idéologie qu'il véhicule. De Francfort à Berlin, de Londres à Paris l'inventeur sillonnera l'Europe avant de rejoindre New-York le 21 décembre 1927. Le 24 janvier 1928, le Theremin est présenté à Sergeï Rachmaninov et Arturo Toscanini lors d'un concert privé donné dans les salons de l'hôtel Plaza, quelques semaines avant une démonstration au Metropolitan Opera House.

Mais les autorités soviétiques n'avaient pas prévu que Léon Theremin quitterait ses habits "d'agent de propagande" pour endosser ceux d'un bourgeois new-yorkais, arpentant les palaces et dépensant plus que de raison. Quelques années plus tard des agents du NKVD enlèvent Lev Sergeïevitch Thermen pour le ramener en URSS où il sera emprisonné dans un camp sibérien. Les archives soviétiques nous apprendront, après la Pérestroïka, que l'inventeur était également membre des services secrets, mais les piètres résultat quant à ses activité d'agent de renseignement, amenèrent les dirigeants soviétiques à demander son "rapatriement".

C'est donc une curieuse aventure musicale et humaine que celle de Léon Thérémin, inventeur de l'un des plus anciens instruments électroniques, encore joué aujourd'hui. Son histoire croisa une page importante de l'Histoire du vingtième siècle, transformant son itinéraire en une véritable fiction teintée d'espionnage, reflet de la "guerre froide" qui trouve ses racines dès 1917.

Un exemple de l'utilisation de cet instrument étonnant :




mardi 11 août 2009

Coïncidence







9 mars 2009 : Sanofi-aventis investit 100 millions € pour construire une usine de vaccin grippal saisonnier et pandémique au Mexique.


Extrait de l'article : La nouvelle usine de sanofi pasteur au Mexique sera construite selon les standards permettant à sanofi pasteur de basculer aisément de la production de vaccin contre la grippe saisonnière à celle de vaccin contre la grippe pandémique, dans l’éventualité où une pandémie de grippe humaine vienne à être déclarée et une fois la souche de virus grippal pandémique identifiée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).


28 avril 2009 : Washington - L'apparition d'une nouvelle souche du virus de la grippe au Mexique le 22 mars et sa propagation aux États-Unis, au Canada et en Espagne ont incité l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à déclarer l'état d'alerte.


Extrait de l'article : Il reste encore à savoir si l'on mettra au point un vaccin contre le H1N1, même si l'OMS et le CDC agissent comme si on allait prendre cette décision. Lors de la conférence de presse qu'il a donnée le 26 avril à la Maison-Blanche, le directeur par intérim du CDC, le docteur Richard Besser, a déclaré : « Toutes les fois qu'une nouvelle souche de grippe fait son apparition, nous commençons à prendre des mesures pour le cas où il faudrait produire un vaccin. »


Le Chant des Chants




zag

Voir aussi la page MySpace.


lundi 3 août 2009

Marianne Aya Omac







Personnage charismatique, en constante recherche d'authenticité, Marianne Aya Omac se produit seule, en Quartette (basse, batterie, guitare), en quintette (Chœur, trio de cordes) ou avec le choeur de la buèges, ses concerts intimes et intenses font rimer féminité avec humanité…
(texte extrait de la page MySpace)




En savoir plus, écouter des extraits musicaux, voir des videos : il y le choix entre le site web (Marianne Aya Omac) et la page MySpace.

L'un de ses textes traduit en français :


be my witness 01

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